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Sam 22 Sep - 10:17


Edwina S. Svanhildesen
Solitaires Américains

Edwina S. Svanhildesen


▹ MULTICOMPTES : Vyranui Wahlberg, Torvald Marklund, Kayla Atkins. ▹ PSEUDO : ODAYA OCHAVEN. ▹ EMPREINTES : 3191 ▹ ARRIVÉE EN VILLE : 20/09/2014 ▹ AGE DU PERSO : 34 ▹ LOCALISATION : Perdue dans la neige norvégienne, quelque part dans la nature ou alors entre les feuilles d'un vieux livre poussièreux ou encore, entre deux étagères de la biliothèque, si ce n'est pas au fond de son lit. ▹ HUMEUR : Mordante mais pourtant la blonde sait restée polie avec ses interlocuteurs, enfin la plupart du temps, excepté une semaine par mois et bien sûr une semaine avant la pleine lune. Oh, également excepté les mercredis. Et les jours sans chocolat. Jamais en fait, ou rarement plutôt.

CROCS PRÉFÉRÉS
✤ MES COMPETENCES:
✤ MON INVENTAIRE: un livre aux pages cornées, une petite dague et un stick à lèvres, le tout dans ma besace préférée


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Lieu et date du rp : septembre 2019, quartier maudit de Bergen
Protagonistes: Nicholas Tveit & Edwina S. Svanhildesen
Résumé du rp: La jeune blonde est de retour, depuis peu, en Norvège. Elle s'apprête à aller voir Nicholas, parce qu'elle lui doit des explications. Manque de chance, elle lui tombe dessus bien trop tôt.
Actions réalisées au cours de ce rp: uc.




premier chapitre


Elle était retour. Ça faisait des jours que l’alpha de la meute indienne et le Roi des loups américains l’avaient informé de leur volonté d’enquêter sur l’assassinat de Kateleyä. Le Roi, le Vahagn, leur avait donc expliqué – à Stein et elle, qu’ils comptaient aller en Norvège pour ça. Ils souhaitaient avoir des réponses, et de vraies réponses. Pas des échanges de courriers électroniques, dont les phrases auraient pu être préconstruites, mensongères. Ils voulaient discuter avec les meutes norvégiennes, comprendront ce qu’il s’était passé. Ils n’étaient pas certains que ce soient eux qui aient tué cette solitaire. C’est pour ça qu’ils souhaitaient discuter avec eux, afin d’assurer la sécurité des loups qui se déplaceraient sur les territoires américains.
Edwina n’avait pas dormi pendant plusieurs jours. Inquiète. Elle n’avait pas réussi à faire grand-chose. Le premier message qu’elle avait reçu de Raphaël de ne l’avait pas aidé, absolument pas. Sa première réaction l’avait même complètement déçue. N’avait-il donc pas compris le message ? N’avait-il donc pas envie d’écouter ce qu’elle tentait de lui dire ? D’essayer de l’aider ? Elle avait été dégoûtée, mais elle avait avancé. Des articles avaient donc été écrits et, petit à petit, elle les avait envoyés. Dans certains médias. Des articles qui ne disaient rien, mais laissaient des petits bouts d’histoire, par-ci, par-là. De quoi attiser la curiosité de certains. Suffisamment pour qu’elle s’inquiète et se protège. Elle ne pouvait pas s’assurer une loyauté extrême au Roi Américain, parce que si elle rejoignait une meute et n’était plus alpha, elle craignait que le lien qu’elle entretenait avec Stein se dégrade, se détruise. Et d’un autre côté, rester solitaire ne serait pas du tout une bonne idée sur le long terme. Les maudits avaient besoin d’une meute. Elle le savait parfaitement, alors elle se devait de trouver une solution. Est-ce qu’elle souhaitait créer sa propre meute ? Elle n’en savait trop rien, mais à mesure que le voyage vers la Norvège se profilait, elle ne cessait de ressasser l’idée, de se dire que, finalement, ça serait sans doute la meilleure solution.

Et puis, finalement, en ce mois de septembre, elle repartit pour la Norvège. Pour ce pays qui l’avait vu grandir. Elle ne savait pas trop quoi en penser. Elle était partagée par la peur et l’inquiétude. Le stress de revoir sa famille, et le plaisir de pouvoir à nouveau les serrer dans ses bras. Elle ne savait pas ce qui l’attendait. Elle craignait la détresse de Nick et de sa colère. C’était mitigé dans son cœur, comme dans son esprit. Ainsi, une fois arrivée sur le sol norvégien, malgré l’annonce de la mort de Solskinn, elle entreprit de se diriger directement vers le territoire de la meute brune, laissant Stein aux bons soins des meutes américaines. Au moins, elles, protègeraient les maudits. Ainsi, comme si elle n’avait jamais quitté Bergen, elle reprit la direction du territoire brun. Se dirigeant vers ce territoire qu’elle connaissait bien, où elle avait passé pas mal de sa vie à courir, sans gêne.  Elle ne savait pas l’accueil qui lui serait réservé, mais à peine s’était-elle engagée dans le cœur de la ville, qu’elle tomba sur Nicholas. Il était là. En face de lui. Après un an d’absence et de silence. Edwina, muette, stupéfaite de le rencontrer de la sorte, ne s’attendant pas du tout à le voir aussi rapidement, ne s’étant – finalement – pas tant que ça préparée à le revoir, resta muette de stupéfaction. « Je suis désolée. » Laissa-t-elle finalement tombée, sans même le saluer.

esprit sauvage
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Dim 23 Sep - 12:07


Nicholas Tveit
Meute Brune

Nicholas Tveit


▹ MULTICOMPTES : Elias & Ivar & Sevastyan & Doffen ▹ PSEUDO : Ludies ▹ EMPREINTES : 2979 ▹ ARRIVÉE EN VILLE : 19/07/2015

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✤ MES COMPETENCES:
✤ MON INVENTAIRE: Une laisse.


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Mi-septembre, cela faisait quelques jours qu'il avait eu cette « grande » discussion avec Leif et il était toujours... toujours, à vrai dire il n'y avait pas vraiment de mots sur ce qu'il ressentait réellement : il était la fois triste, plein de remords, agacé, trahi  et toujours aussi frustré. Ce dernier point ne passerait probablement jamais, alors il allait falloir qu'il s'y habitue assez rapidement pour le bien de tous, mais surtout pour le sien. Il marchait tranquillement dans le quartier maudit à la recherche de quelque chose à faire pour s'occuper l'esprit : pour ne plus penser ni à cet abruti de Leif -qu'il continuait à aimer, à détester, malgré tout-, pour ne plus penser à la douceur salvatrice de ce Lien. Il avait l'impression d'étouffer. Peut-être que muter et aller chasser dans la foret lui ferait le plus grand bien, qui sait ? Peut-être que c'était de ça dont il avait réellement besoin. Du quartier maudit, il commençait à se diriger vers Haugkass quand soudain une apparition se fit devant lui. Un silhouette blonde qu'il ne connaissait que trop bien. Edwina. Celle qui l'avait abandonnée lâchement sans lui donner de nouvelles malgré ses trouze mille sms, ses tentatives désespérées. Elle était là, ; vivante de lui. Qu'est-ce qu'il devait dire ? Comment est-ce qu'il devait réagir ? Hurler ? Lui coller une baffe ? Pleurer ? Rien faire et continuer à la regarder d'un air stupide -pour ne pas dire bovin- la bouche ouverte comme s'il gobait une mouche ? Il inspira, un flot d'émotions le submergea de nouveau, trop contradictoires encore ne fois.

Un an et quelques mois de silence. Un mois de souffrance, de questions. Pourquoi elle ? Pourquoi est-ce qu'elle l'avait laissée comme ça alors qu'elle savait pertinemment que c'était sa plus grande peur être abandonné par ceux qu'il aimait, les quelques rares personnes qui lui restaient (aka Ed & Raph, Asya) à l'époque. Oh, ce qu'il aurait rêvé lui refermé la porter au nez pour lui montrer qu'il n'était pas content. Oui, il aurait adoré faire ça .. et sans s'en rendre compte, comme si son cerveau voulait juste accomplir, il mima, alors qu'elle venait de s'excuser -ça lui faisait une belle jambe-, une porte qui s'ouvrait, puis qui se refermait aussitôt. Quelques mètres les séparaient encore et il finit par les franchir -la porte invisible, ayant disparu à tout jamais- pour la serrer fort dans ses bras, malgré li, malgré ce sentiment de rejeter, malgré la haine, la rancune, l'incompréhension. Elle était en vie, bien en vie et probablement que c'était le plus important. « Je te déteste. lui souffla-t-il à l'oreille d'une voix probablement trop doucereuse pour qu'il soit vraiment pris au sérieux . Pourtant, il y avait réellement une part de lui qui la détestait. Il se recula enfin, la laissant respirer hors de son étreinte. Pourquoi ? Pourquoi est-ce que tu m'as laissé ? Tu n'avais pas le droit... ou du moins de me laisser sans aucune nouvelle. sa voix se cassa, il l'avait vraiment très mal vécu, surtout que lorsqu'elle était partie, il était encore assez fragile. On abandonne pas sa famille, son meilleur ami. ! On ne se laisse pas passer pour morte ! Il se retenait tout juste de pleurer de colère, de frustration -mais cette fois uniquement dû à la Blonde, de tristesse, mais aussi de soulagement J'espère que tu t'es bien amusée dans ta nouvelle vie en tout cas, je suis ravi de voir que l'on peut-être facilement remplaçable dès qu'on se casse de ce pays. J'espère que ça valait le coup de tout quitter, de tous nous trahir en nous laissant seuls, de tous nous laisser dans cette merde pendant que tu étais je ne sais où. Mais je crois que c'est un peu de famille ça. Méchant ? Non, juste réaliste, il avait encore beaucoup de choses en travers... [Mais je suis content que tu sois en vie et visiblement en bonne santé. Tu veux que je t’amène auprès d'Elias, tu pourras voir tes... les enfants ?. Ils font un peu parti de ta famille... Mais je ne sais pas comment il réagira en te voyant. Non, il ne proposerait pas d'aller chez les roux et il espérait qu'elle éviterait cette question épineuse. Tu es là pour longtemps, ou tu comptes encore repartir ? demanda-t-il un peu amer, craignant au final surtout la réponse.
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Jeu 4 Oct - 13:28


Edwina S. Svanhildesen
Solitaires Américains

Edwina S. Svanhildesen


▹ MULTICOMPTES : Vyranui Wahlberg, Torvald Marklund, Kayla Atkins. ▹ PSEUDO : ODAYA OCHAVEN. ▹ EMPREINTES : 3191 ▹ ARRIVÉE EN VILLE : 20/09/2014 ▹ AGE DU PERSO : 34 ▹ LOCALISATION : Perdue dans la neige norvégienne, quelque part dans la nature ou alors entre les feuilles d'un vieux livre poussièreux ou encore, entre deux étagères de la biliothèque, si ce n'est pas au fond de son lit. ▹ HUMEUR : Mordante mais pourtant la blonde sait restée polie avec ses interlocuteurs, enfin la plupart du temps, excepté une semaine par mois et bien sûr une semaine avant la pleine lune. Oh, également excepté les mercredis. Et les jours sans chocolat. Jamais en fait, ou rarement plutôt.

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Qu’est-ce qui était le plus difficile ? De croiser son visage et son regard, emplis de souffrance contenue ? Ou le fait qu’il était là, dans une position inconfortable d’incompréhension, en quête de réponses ? Qu’est-ce qui était le plus difficile ? L’avoir abandonné, ou se rendre compte de la douleur que ça lui avait causé ? Edwina se pardonnerait-elle de l’avoir laissé derrière elle, malgré toutes les bonnes raisons qui avaient justifié son acte ? Elle n’en savait encore rien et alors qu’il lui claquait – métaphoriquement parlant – la porte au nez, elle ne pu empêcher ses yeux de s’embuer et ses lèvres de dessiner un petit sourire amusé. Il n’avait pas changé. Il avait toujours cette façon à lui d’exprimer ses sentiments, sa colère, sa frustration, sa façon à lui de lui faire comprendre qu’elle avait merdé, sans crier, sans jurer, mais tout en disant ce qu’il suffisait de dire. Il lui avait manqué. Bien plus qu’il ne pouvait l’imaginer.
Et alors qu’elle pensait qu’il allait faire demi-tour, ou simplement l’ignorer, ou la regarder fixement, il lui sauta dans les bras, lui fit un câlin. Une étreinte qui lui fit énormément de bien. Elle le sera à son tour, fort. Comme s’ils s’étaient séparés pendant des années durant. C’était un peu le cas d’une certaine façon. Et bien qu’elle eût été très occupée, persuadée que ce qu’elle faisait était pour le bien commun – et ça l’était de toute façon, elle ne put s’empêcher de renifler son odeur, de profiter de ce câlin et de son amour. Oui, il lui souffla qu’il la détestât, mais elle n’en croyait pas un mot. Bien sûr, il avait dû la maudire, l’insulter, mais aussi la pleurer. Il avait dû craindre sa mort et sa disparition définitive. L’incompréhension avait sans doute été la plus difficile à supporter. Ce fameux « pourquoi » sans réponse. Aucune. Elle avait bien lu ses SMS, bien sûr. Mais répondre aurait été trop dangereux. Beaucoup, beaucoup, trop dangereux. Pour lui, pour elle.
Et comme toujours, sa bouche parla. Beaucoup. Alors que les larmes coulaient sur son visage, Edwina laissait un sourire véritablement sincère s’épanouir sur son visage. Il n’avait pas changé. Elle le laissa parler. Qu’il dise tout ce qu’il avait à dire. Qu’il pose toutes les questions qui lui venaient à l’esprit. Elle s’en foutait, elle était là pour y répondre. Pour lui expliquer. Et puis, l’avantage, c’est qu’ils étaient dans le quartier maudit, personne ne viendrait les écouter. Même chez les loups, ce quartier était source de mauvais présage, de malédictions et de vieilles traditions qu’on préférait enfermer loin des cœurs et des regards. Par vieilles superstitions. Aujourd’hui, il prenait un tout autre sens pour la blonde qui y croisait son meilleur ami, qui avait le droit à de véritables retrouvailles. « Je reste. » Commença-t-elle. « J’suis venue avec les américains, on compte pas repartir de si tôt et la Norvège me manque. Que ce soit le pays ou ma famille et mes amis, je ne peux vivre qu’ici. » Les buldings et les rues étroites de New York ne lui manquaient pas. Ni même les grands boulevards remplis de monde. Elle était bien mieux à Bergen et de très loin. De très, très loin. « Je suis partie avec Kateleyä et Stein. » Commença-t-elle. « Et avant que tu t’énerves et que tu me demandes pourquoi, je préfère qu’on se mette à l’écart. » Ainsi, elle lui attrapa le bras et s’enfonça dans le quartier maudit, sur les pas des ancêtres qui avaient maudits ce lieu, ce même lieu qui faisait peur à de nombreux loups. Elle s’assura qu’ils étaient seuls, que ses sens lupins ne détectaient personne. Elle avait affiné ce sens à New York, forcée à entendre pleins de choses malgré le bruit assourdissant de la ville. Enfin, quand elle fut satisfaite, elle commença son récit. Elle parla. Comme lui, sans lui laisser la possibilité de dire quoique ce soit, ni même d’ouvrir la bouche. Elle lui parla de Kateleyä, de son idée, de la volonté d’Edwina de la protéger de l’empêcher de faire de la merde comme elle en avait l’habitude. Mais de sa volonté aussi de l’aider à parler des loups, en bien. Elle profita alors pour lui dire qu’elle avait lié des liens avec beaucoup de monde pour l’aider. Elle ajouta qu’elle ne voulait pas l’enfoncer trop loin dans cette idée. Alors elle lui avoua cash, droit dans les yeux, que non, elle n’allait pas lui donner les identités. « Sauf si… Sauf si tu me promets de ne jamais céder. De ne jamais rien dire. » Elle ajouta. « Même sous la torture. » Elle savait ce qu’elle lui demandait. Mais elle savait qu’il était aussi en mesure de prendre sa propre décision. « Je ne pouvais pas te le dire avant, Solskinn étant au pouvoir c’était trop dangereux pour ta sécurité. » Il pouvait crier et s’énerver, ils savaient qu’elle avait raison. « Mais maintenant c’est différent, fait comme tu le sens, mais il faudra que tu sois sûr de toi. » Parce qu’une décision comme ça, on ne revenait pas dessus. « Parlant d’enfant. » Elle laissa un petit sourire mystérieux se dessiner sur son visage. « J’ai deux personnes à te présenter. » Eh oui, elle savait qu’il allait se faire des idées, mais c’est ça qui allait être drôle.
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Sam 6 Oct - 19:16


Nicholas Tveit
Meute Brune

Nicholas Tveit


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Il ne savait plus comment réagir. Il y avait trop d’émotions contradictoires dans son petit être, beaucoup trop à son goût. Un peu perdu, un peu perplexe, un peu en colère, il essayait quand même de se maitriser un minimum, mais on ne pouvait pas dire que ce soit franchement très probant. Il était à fleur de peau et il savait que la moindre parole qu’il interprèterait mal pourrait le faire partir en live,  il n’avait pas envie de lui faire du mal par des paroles un peu trop brutales, mais en même temps, elle l’aurait cherché ! Elle commença ensuite à lui répondre à ses questions, il acquiesça doucement lorsqu’elle dit qu’elle restait en Norvège, il n’était pas certain de la croire. Il n’était pas rancunier sur certaines choses, mais la confiance avec la blonde était totalement rompue ! Comment est-ce qu’il aurait pu certain qu’elle dise la vérité ? Peut-être qu’une lubie la prendrait et qu’elle repartirait, qui sait ? Non, il était trop amer, et n’avait plus confiance en elle. Elle l’avait trahi, elle l’avait laissé alors qu’il avait besoin d’elle et pour quoi ? Il le sut bientôt, il fronça les sourcils pendant toute son histoire un peu ébahi et franchement pas ravi. C’était donc pour ça qu’elle avait laissé les siens ? Pour une Mordue qui retournait chez elle pour publier un bouquin. Peut-être qu’en d’autres temps il aurait compris, ou pas. Il était plus amer qu’autre chose. Non, ce n’était pas une raison. Elle avait juste fait un choix quasi injustifié. Elle avait choisi de suivre quelqu’un qu’elle ne connaissait pas, de quitter sa famille pour aider cette quasi inconnue à publier un livre, alors que cette même personne retrouverait sa famille, des gens qu’elle connaissait… tout ça pour… pour révéler aux humais leur existence, pour prouver que Solskinn était un vilain bonhomme ! La belle affaire. Oh, oui, l’’amertume il en avait accumulé, et il fallait croire qu’Edwina, n’avait pas compris l’erreur de sa sœur ou de la Reine brune qui l’avait suivi. Il la laissa parler pendant que la frustration et l’amertume le rongeait un peu plus. Il ne devait pas exploser, pas maintenant, elle ne méritait pas ça. Quoique. Il n’en savait rien. Il inspira, tandis qu’elle blablatait encore. Torture. Elle avait dit torture, elle avait bien changé. Après tout ce qu’il avait vécu, comment pouvait-elle prononcé ce mot devant lui ? Probablement par ce qu’elle ne savait plus comment il était, qu’elle ne savait pas qu’en ce moment ce n’était franchement pas le moment de dire ce genre de choses, il avait l’impression d’être un château de cartes, prêt à s’écrouler.
Parlant d’enfant ? Elle voulait lui présenter quelqu’un ? Est-ce qu’elle était tombée enceinte ? Est-ce qu’elle avait ramené de la marmaille de quelqu’un d’autre ? Les possibilités pouvaient être grandes ! Mais il s’en fichait. Non, tu ne me présenteras personne Edwina. Il secoua la tête C’est bien beau de partir sans un mot et de revenir comme ça, comme une fleur, en me racontant que tu t’es cassées pour une putain d’inconnue publie un livre, qu’elle retourne chez elle, chez sa famille, chez ses amies. Elle aurait très bien se débrouiller seule. Elle aurait pu faire des conneries ? Soit, c’est sûr que de l’accompagner alors que tu la connais pas vraiment, pour continuer à vouloir tout révéler aux humains c’est une super bonne idée. La prochaine fois que les chasseurs, je vous prierai à tous, bien-pensants, de cette cause de prendre la place de ceux qui se feront capturer par ce que cette révélation va refaire sortir les psychopathes du coin. Il se tut quelques instants et continua Oui, Solskinn a beaucoup de défaits, oui, il n’est pas arrivé au pouvoir d’une façon conventionnelle, oui, il est un peu extrémiste.  Oui, mais le prochain sera-t-il mieux ? Le prochain ne commettra pas-t-il plus de choses ? Il a fait de bonnes choses, mais tu avais fui trop loin pour t’en rendre compte. Par ce que malgré tout, même si tout est loin d’être parfait, les chasseurs on en entend moins parlé que quand ta sœur, ou mon ex Alpha de Clan avaient voulu faire ami-ami avec eux. oui, il était furieux. Mon père, mon frère sont morts à cause d’eux. J’ai failli cramer à cause d’eux, alors je pense que je suis bien placé pour en parler, et ne me ressort pas le laïus des Mordus/Maudits, par ce que tu sais très bien que les personnes comme moi sont aussi dans sa ligne de mire. Quoiqu’on en dise, ils sont toujours là dans les Meutes, tout comme les Solitaires. temps de silence. Il ne devait pas virer à l’hystérique, absolument pas, mais il sentait ses nerfs lâcher, il sentait les larmes lui monter aux yeux. Et comment oses-tu me parler de torture Edwina ? Comment ? Tu ne crois pas que j’en ai déjà assez eu, comment tu peux me sortir ça, comme ça, en plein milieu d’une discussion, Tes secrets, tu te les gardes, surtout qu’ils peuvent bien me torturer autant qu’ils veulent, mais rien ne serait plus efficace qu’un ordre Alpha, de Roi. Il essuya rageusement les larmes qui coulaient sur ses joues. Torturé, de tout manière, je le suis déjà, mais comment aurais-tu pu le savoir vu que tu n’es plus là et que tu joues la morte depuis un an et demi… mais je suis ravi de voir que tu t’es bien éclatée là-bas et que tu t’es fait plein de potes. Il avait mal, si mal. Pour Dante, pour Fred, pour Leif. Pour tout ce que l’évocation de torture et chasseurs lui rappelaient. La tension était telle dans son corps, qu’il avait envie de lui lancer une déflagration d’aura ou de se transformer mais il essaya de prendre sur lui. Ca ne servirait à rien. Il inspira profondément, toujours furieux et confus de tout ça. Alors toi, ta bonne humeur, ton bonheur tes bonnes intentions, ton livre, tes tortures, tes chasseurs et compagnies, sont priés de me foutre la paix. Il en avait presque envie de vomir. Il ne comprenait pas comment est-ce qu’elle avait pu suivre cette nana  pour juste publier un livre qui foutrait encore plus la merde en Norvège qui pourrait tuer nombre de ces compères. Et malgré tout ce qu’il venait de dire, cette amertume, cette frustration continuaient de le rongeait ; et ce n’était pas que la faute de Leif, de savoir qu’il ne pourrait plus jamais être réellement heureux, maintenant qu’il avait enfin compris qu’après une âme-sœur, tout semblait fade. Non, il y avait toujours cela en sous-jacent bien sûr, mais là c’était vraiment la présence d’Edwina qui le rendait comme ça.
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Ven 12 Oct - 18:28


Edwina S. Svanhildesen
Solitaires Américains

Edwina S. Svanhildesen


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premier chapitre


Elle comprenait. Elle entendait. Elle ne disait rien. Ça ne pouvait pas être pire que ce qu’elle avait déjà vécu et de ce qu’ils vivraient à l’avenir. Elle comprenait sa peine. Pire même, son don d’aura le ressentait. Elle connaissait Nicholas depuis qu’elle était gamine. Il l’avait toujours accepté comme elle était, sans jugement, sans discussion, sans moquerie. Les deux, à un moment donné, avaient été les parias pour quelqu’un, pour un proche, pour une meute. Lui homosexuel (malgré quelques femmes dans sa vie) dans une communauté homophobe, elle née-humaine gagnant la place d’Alpha dans une communauté ne tolérant que difficilement la différence de sang. Oui, ce n’était pas réellement comparable, mais la douleur de chacun pouvait-elle l’être réellement ? Alors qu’il vidait son cœur – mais pas totalement, elle notait bien son incapacité à se laisser aller complètement – elle l’écouta. Malgré les larmes qui roulèrent sur ses joues, elle l’écouta. Parce que c’était ça, assumer la responsabilité de ses actes. Parce qu’en partant, en rompant ses liens de meute, elle avait accepté les risques. Comme toujours. On pouvait reprocher beaucoup de choses à la blonde, mais elle avait toujours fait preuve d’un véritable sens des responsabilités. Chacun de ses actes et chacune de ses conneries avaient été assumées. De A à Z. Sans aucune gêne. Alors oui, même si c’était difficile, compliqué, que ça lui broyait le cœur, lui retournait l’estomac et déchirait le peu qui lui restait, elle acceptait. La vie était ainsi faite. Qu’elle le désire ou non de toute façon, elle se devait de l’accepter.

« Je ne suis pas de bonne humeur Nicholas. » Elle soupira, ferma les yeux. Avait-elle réellement envie de se justifier alors que ça ne servirait à rien ? Elle le devait au brun, mais elle savait aussi que toute son honnêteté était biaisée par son départ injustifié. « Si j’avais parlé, expliqué, vous m’auriez raisonné ou empêché de partir, ou même si vous m’aviez soutenu, Solskinn m’aurait pas laissé filer. » Elle le savait parfaitement. « Kateleyä et Stein étaient liés. » Pas marqués oui, mais suffisamment épris l’un de l’autre pour construire quelque chose. « Alors oui tu as raison, des maudits il y en a toujours eu dans toutes les meutes. » Elle haussa les épaules. « Mais sais-tu combien sont morts en Norvège en mon absence pour les protéger ? » Elle ne lui laissa pas le temps de répondre. « Sais-tu combien de famille de né-humains j’ai fait dégager de la Norvège pendant cette année de plaisir, comme tu le dis ? » Parce qu’elle restait blonde après tous, les reproches n’étaient pas plaisants à entendre et son caractère sanguin restait là. Latent, calme, mais présent. « Trop. » Parce qu’elle se souvenait de chaque nom, de chaque famille, de chaque visage, de chaque personne partie, définitivement ou simplement dans un autre pays. « Je sais que tu as souffert et je sais combien la vie a été injuste avec toi. Avais-je le droit de t’abandonner de la sorte ? Certainement pas, mais était-ce pire que te laisser subir à nouveau la torture, la douleur et d’autres merdes sans nom que tu aurais pu gagner par malchance encore ? » Elle détesta les mots qui sortirent de sa bouche, mais il avait le droit à sa sincérité. Son aura était visible, reflet crucial de la dureté, mais aussi de l’honnêteté de ses propos. « Le fait de vous avoir lâchement abandonné a déclenché une douleur sincère, non mimée, de vous tous. Les blonds, comme de toi. » C’était horrible, encore plus dit à voix haute. « Mais votre abandon vous mettait en sécurité de tout soupçon. Tu le sais mieux que moi, l’aura ne ment jamais. » Après tout, il avait été l’âme sœur d’un putain d’argenté et l’avait senti mourir alors que Solskinn le tuait. Il savait très bien de quoi était capable le Roi. Elle n’allait pas parlementer avec lui, lui expliquer que oui, il était manipulateur et que oui, il avait fait de bonnes choses. Bien sûr. Solskinn n’avait jamais été stupide. Justement foutrement rusé. Et qu’il doute du fait que c’était un connard, ou qu’il puisse sous-entendre qu’il s’était calmé, prouvait bien combien il était doué. « J’suis partie parce que j’avais le choix entre vous laissez, vous tous, capables de vous défendre, de vous remettre de ce lien, ou de laisser Stein quitter le pays, sans l’Alpha qui l’a stabilisé. » Et il savait, comme elle, ce qui serait advenu de Stein. « Alors oui, tu peux me blâmer et m’en foutre plein la gueule pour le choix que j’ai fait. » Elle essuya une larme, renifla, refusant de laisser les sanglots l’empêcher de parler. « Mais bordel j’assume. » Elle haussa les épaules. « Et si c’était à refaire je le referais, car maintenant j’ai des meutes à mes côtés prêtes à accepter les maudits et à les protéger. » Et oui, ce n’était pas une excuse, oui ça ne permettrait jamais d’effacer ses torts, mais c’était comme ça. « Je suis désolée pour la peine que je t’ai imposée, mais maintenant j’ai un maudit à gérer, alors que sa louve a été assassinée et qu’elle lui a laissé deux enfants sur le dos, probablement atteints de sa déficience génétique s’il a la même chance que toi. » L’humour ne la sauverait pas, elle le savait, mais c’était comme ça. « Rien n’excusera jamais ce que je t’ai fait. » Parce qu’après tout, il devait l’entendre, comme elle. « Prends le temps qu’il te faudra Nick. » Même si c’était tout une vie. « Mais comprends que si je devais le refaire, pour assurer une protection à tous les loups, quel que soit leur statut, leur vie sexuelle, ou leur sang, alors je le referais. » Est-ce qu’elle perdait à jamais son meilleur ami ? Peut-être. Est-ce que ça l’empêcherait de se battre pour ses convictions personnelles et pour l’avenir qu’elle voulait pour la meute ? Sans doute. Est-ce qu’elle allait expliquer que le livre n’était qu’une excuse pour protéger les maudits ? Elle espérait qu’il l’aurait compris de lui-même, dans tous les cas, elle doutait qu’il accepterait d’entendre encore longtemps des explications.

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Dim 14 Oct - 16:59


Nicholas Tveit
Meute Brune

Nicholas Tveit


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Il n’aimait pas la voir dans cet état, mais il avait besoin de lui dire les choses telles qu’il les ressentait. Après bien entendu, il écouterait ce qu’elle lui répondrait, peut-être qu’il changerait d’avis, peut-être pas, il n’en savait encore rien, mais au moins il s’était défoulé et ça avait fait du bien à cette rancœur envers elle qui le tenaillait ! Elle n’était pas de bonne humeur, bon ok. Il voulait bien la croire, il avait eu la critique facile sur ce coup-là mais par Fenrir que ça avait fait du bien ! Pour ses explications, il acquiesça doucement : il comprenait ce qu’elle disait, il comprenait en partie son point de vue, mais.. mais il y avait ce mais. Mais il y avait des choses sur lesquelles il n’était pas spécialement d’accord, néanmoins il ne reprit pas la parole et attendit qu’elle ait totalement fini, comme elle l’avait pour lui ! Ils n’étaient pas des sauvages, ils pouvaient dialoguer, même si pour l’instant il avait plutôt dit son mécontentement qu’autre chose. Il devait agir maintenant de façon un peu plus réfléchie, maintenant que ses nerfs étaient un peu plus calmes, que les propos d’Edwina l’avaient également calmé même si certains l’agaçaient, il pouvait répondre un peu plus intelligemment…enfin intelligemment façon Nicholas, c’est-à-dire probablement retrouver un petit côté naïf, et bisounours. Ou pas, peut-être qu’il se surprendrait lui-même. Il se passa une main dans les cheveux avant de finalement reprendre la parole : Pour les maudits je dirai trois ou quatre ? Ptet cinq. Combien de Loups sont morts à cause des chasseurs, ne serait-ce que pendant l’incendie ? Une année pour l’un, quelques heures pour l’autre, Edwina. Non, il ne démordrait pas de son idée sur les chasseurs. Il soupira, il était maintenant plus calme. Je comprends pourquoi tu as agis comme ça, c’est bien ce que tu as faits pour les loups de TA meute, c’est vraiment, je ne suis pas certain que pour l’instant ils étaient réellement en danger en Norvège, mais tu as probablement bien fait. Par contre, je ne comprends pas, après tous les désastres causés par les différents « révélations », comment est-ce que tu peux encore cautionner ça, comment est-ce que tu peux croire que cela nous apportera du bon ? Il haussa les épaules Et qui te dit que je n’aurais pas préféré subir d’autres merdes mais que tu sois à mes côtés Edwina ? Je comprends que tu l’as fait pour notre sécurité, qu’il faudrait que je te remercie, je ferai probablement dans quelques temps, ou à la fin de la discussion, mais là, ça a quand même du mal à passer. Et tu avais un autre choix Edwina, leur demander de ne pas partir, La convaincre que c’était s’attirer encore plus de merdes, elle t’aurait peut-être écoutée… ou pas, je n’en sais rien… Je me doute que tu penses que c’était la bonne solution, j’espère sincère que je me trompe et que tu as raison Ed. J’espère que tu me prouveras que tu as eu raison et qu’aucun nouveau drame aura lieu, qu’il me touche, ou pas. Temps de silence. Tu n’as pas à t’excuser, c’est ton choix et tu as voulu nous protéger, tu n’avais pas le choix … en quelque sortes. Il soupira de nouveau Vous vous êtes prêts à les accepter, mais je te rappelle qu’on est sur le territoire Norvégien, et que beaucoup de Maudits, pour ne pas tous, sauf Stein , ont déjà tué des « innocents » ... pas forcément innocents. Est-ce que tu es sûre que tu ne mets pas d’humains ou de loups en danger en emmenant encore plus ? Et tu sais, tu as failli avoir un membre de ta famille en moins… enfin un de plus. Je ne sais pas qui tu as croisé, mais un Mordu de notre meute a blessé Lynn, une des fille d’Elias et Amanda, il est devenu d’un coup incontrôlable, alors imagine avec un Maudit… Oui, est-ce que tu es sûre de toi ? Il adorait Stein, mais Stein restait une exception. Il le savait. Il en avait conscience, alors oui, si Edwina lui affirmait qu’il y aurait bientôt plein de Stein, ça ne lui poserait aucun souci… mais si elle n’était pas certaine, cela voulait dire qu’il pourrait il y avoir des dégâts et ça, ça lui plaisait beaucoup moins. Tu veux que je te les présente, qu’est-ce que tu sais sur la situation actuelle des meutes exactement ? Est-ce qu’elle savait pour Elias et Amanda ? Pour Certain de leurs choix ? Pour Leif ? Ca ne veut pas dire que je t’en veux plus, Ed. Je ne sais pas ce que je veux exactement… Mais… mais tes choix étaient pour sauver d’innocentes vies, alors ça vaut bien quelques peines de tes proches…. Même si je n’approuve pas le pourquoi tu es allée pour là-bas, enfin ce que tu as traficoté et qui nous met en péril. mais oui Nick, juste un petit résumé au cas où elle n’avait pas compris.
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Jeu 15 Nov - 18:35


Edwina S. Svanhildesen
Solitaires Américains

Edwina S. Svanhildesen


▹ MULTICOMPTES : Vyranui Wahlberg, Torvald Marklund, Kayla Atkins. ▹ PSEUDO : ODAYA OCHAVEN. ▹ EMPREINTES : 3191 ▹ ARRIVÉE EN VILLE : 20/09/2014 ▹ AGE DU PERSO : 34 ▹ LOCALISATION : Perdue dans la neige norvégienne, quelque part dans la nature ou alors entre les feuilles d'un vieux livre poussièreux ou encore, entre deux étagères de la biliothèque, si ce n'est pas au fond de son lit. ▹ HUMEUR : Mordante mais pourtant la blonde sait restée polie avec ses interlocuteurs, enfin la plupart du temps, excepté une semaine par mois et bien sûr une semaine avant la pleine lune. Oh, également excepté les mercredis. Et les jours sans chocolat. Jamais en fait, ou rarement plutôt.

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premier chapitre


Comme toujours, le problème n’allait que dans un sens. Les chasseurs, ces vilains pas beaux. Donc sous prétexte qu’il y avait les humains d’un côté qui faisait du mal, on ne pouvait pas également traiter le mal dans une propre espèce ? Donc si on s’en prenait à une meute de l’intérieur, il fallait laisser faire, car une menace – tout aussi importante – existait à l’extérieur de la meute ? S’il y avait plusieurs rôles, différents, dans chaque meute, pour traiter plusieurs problèmes, n’était-ce pas justement pour ça ? Pour pouvoir être sur plusieurs tableaux à la fois ? Mais elle le laissa parler. Elle ne voulait pas se montrer vexante, mais que pouvait donc comprendre un lambda à une telle situation ? « Qui t’as dit que je cautionnais ? » Elle laissa un silence s’installer. « J’ai utilisé un prétexte pour ne pas laisser le seul maudit, jamais stabilisé, se barrer avec une née-humaine incapable de se contrôler. Oui, j’ai supervisé ce qu’elle faisait et j’ai tenter de travailler en fonction. Mais pendant ce temps, des loups faisaient sortir des né-humains et des maudits du pays, des liens entre les meutes se construisaient, dans l’espoir de protéger ces êtres différents. Je suis née-humaine. Je n’ai jamais attaqué personne, car on m’a éduqué. » Elle ne comprenait pas comment l’intolérance avait pu autant grandir pendant tout ce temps. « Tu crois vraiment que je n’ai rien fait ? Que je leur ai de suite dit « oh oui, très bonne idée, je viens avec vous ? » » Elle était stoïque face à ces réactions. « C’est vrai, pardon, j’avais oublié qu’en temps qu’alpha j’étais complètement conne et incapable de réflexion. » Parce que c’est ce qu’il sous-entendait, qu’elle n’avait pas discuté, pas réfléchi, pas pensé à d’autres alternatives. Lui. Le soumis qui n’avait aucune place dans la hiérarchie lupine. Elle essayait, vraiment, de se montrer tolérante et ouverte, mais ses arguments étaient creux. Preuve d’une grande incompréhension, d’une grande incompétence, ou d’une naïveté à vomir. Elle n’en savait rien. « Et toi tu n’as jamais tué Nicholas ? Et moi ? Et Raphaël ? Et Elias ? Et les autres loups ? Et le Roi que tu couvres actuellement, il n’a jamais tué non plus ? » Elle fit une pause, poursuivit. « Tous les loups tuent. Ce n’est pas une excuse, dans les deux cas. » Elle ne peut, clairement pas, le laisser parler de la sorte. « L’éducation changera les choses. Si j’ai sut le faire avec Stein, si j’ai sut stabiliser des né-humains, si ma famille à pu le faire, d’autres pourront le faire aussi. La haine, la rage et l’intolérance n’amènent jamais de bons comportements. » Pourquoi diable devait-elle expliquer, qui plus est à Nicholas, de choses si évidentes. « Il est devenu incontrôlable, d’un coup, comme ça ? Sans que personne ne lui parle, personne ne le cherche ? Sans que littéralement aucune raison, aucune information, aucune modification de son environnement ne survienne ? » Elle n’y croyait pas une seule seconde. « Je suis impulsive et tu le sais, mais je ne m’énerve pas gratuitement. Jamais. Je prends mal certaines choses que d’autres prendraient biens, totalement vrai. » Elle haussa les épaules, ce n’était qu’un exemple. « Mais dire pour autant que je ne m’énerve pour rien est faux. Il en est de même pour ce né-humain. Avant d’accepter ce qu’on veut te faire croire, renseigne toi. A-t-il vraiment, mais à 100%, subit aucune perturbation, aucune provocation, aucune poussée d’aura, rien du tout, qui aurai pu le faire basculer ? » Parce qu’ils le savaient l’un comme l’autre, l’intolérance était courante dans toutes les meutes. Et les né-humains, surtout jeunes, étaient plus instables. « La meute brune n’est pas connue pour son intolérance, mais vous ne pouvez pas non plus me dire que vous êtes tolérants. » Ils étaient toujours entre les deux. Opportunistes. « Alors avant de me citer un exemple, comme ça, sans vraiment donner toutes les informations, renseigne toi. Et renseigne toi vraiment. Fouille, jusqu’à ce qu’on te suspecte tellement tu remettras les choses en question, et alors, seulement là, viens me dire qu’un né-humain pète un plombe sans aucune raison. » Ils le savaient tous, les maudits ne contrôlaient pas leurs mutations, mais une provocation pouvait pousser au pire le jour de la pleine lune, l’aura pouvait également les déstabiliser et, les né-humains, comme les né-loups, étaient sensibles à ces provocations, à ces auras, surtout quand ils étaient jeunes, encore perdus, encore en train d’apprendre. « Donc oui, je suis sûre de moi. » Et elle n’en démordrait pas. « C’est marrant tu vois, parce que j’ai passé un an, dans trois meutes qui avaient plus de 70% de maudit et de né-humains et je n’ai déploré aucune, je dis bien, aucune, agression sur des humains. » Elle laissa l’information faire son bout de chemin dans l’esprit de Nicholas. « Mais tu as raison, ça doit être l’air Norvégien qui a quelque chose de particulier. » L’intolérance était sans doute plus ancrée dans leurs traditions. Ca lui prouvait qu’elle avait raison, elle ne pouvait plus être une louve blonde.

« Pour le moment, je préfère ne pas aller sur le territoire des autres meutes. » Sourire triste sur le visage, elle était tout de même ravie qu’il lui propose. « Ca me ferait plaisir de les rencontrer, une autre fois. » Après tout, elle ne comptait pas partir. « Je serai ravie également de te présenter les loups américains. » Et peut être, au passage, quelques maudits et né-humains. Après tout, ça ne lui ferait pas de mal de s’ouvrir à leurs cultures. « Tu voudras rencontrer les enfants de Stein et de Kateleyä ? » Elle ne savait pas trop s’il en aurait envie, mais après tout, elle les avait à sa charge, elle pouvait le proposer à son meilleur ami. « Comment va Skuli ? » Lui demanda-t-elle finalement, la voix enrouée par la situation. Elle avait laissé tombé un homme qui l’aimait vraiment, elle se doutait bien qu’il n’avait pas digéré la situation.

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Dim 18 Nov - 14:55


Nicholas Tveit
Meute Brune

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Elle avait raison. Il essayait de se convaincre qu’elle avait bien fait de partir, de fuir toute cette merde, au moins elle était…. Bien, en vie. Elle semblait comme revigorée, elle avait vu de nouveaux horizons. Il ferma les yeux quelques instants le temps de bien inspirer, le temps d’essayer de se poser. Ecouter juste son cœur, pas sa rancœur, pas l’envie qu’il avait de la faire fuir pour se protéger. La voir lui faisait mal, mais là n’était pas la question, il devait arrêter de tergiverser ; Il devait juste écouter son cœur, comme si c’était simplement une amie qui lui parlait, comme si c’était cette brave Asya. Il se passa une main dans les cheveux avant de soupirer légèrement. Elle avait raison, quand elle le disait ça paraissait logique… mais malgré tout elle n’avait pas été là. Et ça, quoiqu’elle dise, il n’y avait aucun contre argument. Est-ce que sa présence aurait au changer les choses ? Peut-être qu’avec des alliances les choses auraient pu changer peut-être que non, il n’était pas assez qualifié pour cela ! « Tu sais pertinemment que je t’ai toujours soutenu Edwina, même quand ils te traitaient tous comme de la merde, je te défendais ! souffla-t-il finalement plus blessé qu’autre chose. « Je n’ai jamais dit que tu étais stupide ou incompétente. Est-ce que tu as bien fait ? Oui, probablement, je n’en sais rien. Et je ne compte pas me prononcer là-dessus Edwina, tu sais très bien ce que tu faisais, tout comme les autres Alphas savent ce qu’ils font.» Il se tut quelques instants avant de souffler de nouveau doucement, mais amèrement «Laisse tomber, quelle importance de toute façon non ? » De toute manière, il aurait toujours tort, il le savait. Il n’avait pas la même vision des choses qu’elle, que Leif, que les autres en général, alors ce genre de discussion ne mènerait sûrement à rien, sauf à l’attendre être irritée ou quelque chose de similaire.

Il haussa un sourcil.  « Tu sais aussi bien que moi que je suis contre la violence, les seules proies que j’ai tuées c’était pour bouffer. Jamais d’humains et encore moins toucher un enfant, qu’il soit loup ou pas.  Je ne le couvre pas, j’énonce juste quelque chose Edwina. » Il se passa une main dans les cheveux en ne sachant plus trop comment dire les choses, il avait l’impression de mal s’exprimer, mais si Solskinn avait fait des chose horribles, il en avait fait d’autres de  bien. Point. C’est tout ce qu’il voulait dire. « Je n’ai jamais dit que l’éducation ne changerait pas les choses, seulement, si toi tu peux comparer avec les Américains, nous on ne peut pas. Alors ce n’est pas la peine de répondre sur ce ton-là. Jusque-là, à part Stein ici, que ce soit dans ta meute ou dans les autres les Maudits n’arrivaient pas à se contrôler. Ce sont des faits, alors si tu as trouvé un moyen de les aider et bien tant mieux, je suis sincèrement ravi pour toi, pour eux si ça peut améliorer leurs vies. » Ce n’était pas la peine de se montrer pseudo-sarcastique, par ce qu’elle avait vu autre chose. Comment est-ce qu’il pouvait le deviner ce qui se faisait ailleurs ? Il n’était pas devin et jusque-là, elle aussi était persuadée qu’il n’y avait que Stein qui pouvait bien se contrôler. C’était un peu facile, de se ramener avec ses nouvelles croyances, en leur jetant à la gueule leur intolérance certaine, alors qu’avant elle était pareille. Bien sûr que s’il pouvait aider les maudits ou nés-humains il le ferait, bien sûr. Bien qu’il ne pourrait probablement pas, qui écouterait réellement un soumis ? Il avait laissé passer quelques instants avant de reprendre « Je ne sais pas ce qui s’est passé exactement Edwina, mais je ne peux que croire mon Alpha, mon Bêta et les gosses. Les enfants d’Elias ne mentiraient pas. Peut-être que oui, il y a quelqu’un qui l’a cherché, mais s’il se balade en pleine rue, pour aller travailler te qu’on l’agresse… qu’il se transforme Ed ?!  Il aurait pu tuer une enfant d’Alpha, il aurait pu tuer des humains.  TU n’as jamais fait ça, comme la plupart ne l’ont jamais fait. » Pour sûr, il protègerait sa meute, son Alpha, son cousin, de ce que semblait sous-entendre Edwina. Peut-être qu’elle avait raison, qu’il y avait anguille sous roche. Il avait confiance en ce que ses deux êtres disaient, tout simplement. S’ils jugeaient avoir agi pour le mieux, et bien soit. Ils avaient fait en sorte de protéger l’ensemble et c’est ce qu’on attendait d’un Alpha, ou du moins ce que lui attendait. «Elias a fait ce qu’il fallait, tu n’étais même là pour juger. Lui comme Raphael font ce qu’ils peuvent pour le bien de TOUTE la meute, pour nous protéger dans l’ensemble, pas juste quelques individus, par ce qu’ils sont ci ou ça.» Il eut un faible rire. «Oui, bien sûr, je ne suis pas assez dans la merde comme ça, je vais en plus fouiller pour remuer la merde alors que je fais simplement confiance à ma hiérarchie. Je suis probablement trop lâche, je ne suis pas comme toi Edwina. »

Peut-être qu’il devrait se montrer méchant, ou méprisant… peut-être que comme ça, elle le lâcherait. Peut-être que comme ça, elle le détesterait. Ca serait mieux. Ou pas. Il n’en savait rien, il n’en savait plus rien. Il était paumé et cette discussion n’aidait pas, par ce qu’il n’avait plus l’impression d’avoir son amie face à lui, par ce qu’elle semblait oublier qu’il ne pouvait pas savoir comment c’était ailleurs, mais qu’il était serait prêt à l’écouter peut-être à un autre moment, par ce que là gérer cette rencontre plus tout ce qu’elle lui racontait c’était compliqué. Trop compliqué pour lui, pour ses sentiments, ses ressentiments, sa rancœur, sa joie de la revoir, et la peur de s’attacher de nouveau à elle et qu’elle l’abandonne à nouveau.

Perdu. Perdu. Perdu. Il inspira doucement, et se passa une main dans les cheveux. « Je suis désolé Ed. Je… Je ne suis pas dans mon assiette. Je ne veux pas me montrer méchant ou désagréable, mais te voir là, t’entendre parler de tout ça comme ça, c’est pas simple, tu peux comprendre ? » Et voilà la soumission était de retour, et comme d’habitude il essayait d’arrondir les angles, il voulait juste se faire pardonner si jamais elle avait mal pris quelque chose.

Il aurait probablement mieux valu qu’il hurle. Qu’il se fâche avec elle, qu’elle déteste. Avec Leif c’était plus ou moins fait, il ne resterait plus que Raphaël et Asya et après il n’aurait plus trop d’attache, il ne pourrait plus blesser personne. Il ne voulait pas leur faire du mal, mais ça allait probablement arriver. Alors agir en prévention, ça serait probablement le mieux, non ? Pour eux du moins, pas pour lui.

 « Si tu es avec moi, ça ne devrait pas poser de souci, non ? Et puis tu n’as commis aucune infraction, non ? Tu es juste partie… et revenue  mais soit, tu me diras si tu veux que j’t’y accompagne» Il hésita quelques instants avant de souffler « Ca me va pour les Loups Américains, mais… mais pour les enfants je ne préfère pas… pour l’instant. » Il baissa un peu les yeux, c’était stupide, mais il ne pouvait, il penserait à Kate et donc à leur enfermement et donc à Dante et le cercle infernal ne serait plus que compliqué. Il n’osait pas lui dire pourquoi, vu comme avait réagi Raphaël, il n’avait plus envie de parler de tout ça, il préférait garder ça pour lui.  Et Edwina s’il disait quelque chose comprendrait probablement un peu trop bien tout ce que cela impliquait et elle avait d’autres chats à fouetter. « Je ne sais pas, j’étais plus avec les roux et les bruns qu’avec les blonds… mais, depuis un an, l’eau a coulé… je ne sais plus trop l’expression. Mais je pense qu’il t’en voudra, mais je  ne suis pas non plus forcément très bon à ce jeu-là… alors, vaut mieux que tu vois avec quelqu’un qui le cotoie réellement. »
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Mer 21 Nov - 8:26


Edwina S. Svanhildesen
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premier chapitre


Elle écouta. Gentiment. Simplement. En rongeant chacune de ses paroles. Non, elle n’avait jamais cru les maudits et né-humains incapables de se contrôler. La preuve, elle avait toujours travaillé d’arrache-pied pour les aider. Et bien sûr, Stein était le seul à s’être stabilisé, mais le seul à lui avoir fait suffisamment confiance pour qu’ils puissent courir ensemble, vivre ensemble, muter ensemble et se lier d’un lien d’aura si puissant, qu’aujourd’hui on lui soufflait qu’elle ne pût pas le briser. Et, quelque part dans son esprit, une première lumière se fit. Peut-être, oui peut être, qu’elle trouvait le début d’une réponse, d’une solution, mais ce n’était ni le lieu, ni le moment.
Alors elle écouta Nicholas, elle l’écouta. Dire que oui, des enfants ne mentaient pas, surtout quand ils n’avaient vu que le pire moment : l’attaque et rien d’autre auparavant. Oui, sa hiérarchie était là pour le protéger, ça n’empêchait pas une hiérarchie de manipuler pour obtenir et, Edwina plus que n’importe qui, s’était toujours méfiée de Raphaël. Alors oui, peut-être qu’elle n’était pas objective, mais si elle l’avait contacté durant son exil, pour faire ce qu’il avait fait, ce n’était pas pour rien. Parce qu’elle savait que faire quelque chose pour le plus grand bien, même dans le dos de tous les autres, c’était dans ses cordes. Est-ce que ça impliquait, peut-être, de faire tuer quelqu’un ? Sans doute. Elle doutait de ce qu’elle disait, doutait des liens – sans doute basés sur la paranoïa, qu’elle faisait, mais la blonde n’avait pas oublié ses jeunes années, ni même tout ce temps passé à écouter les rumeurs qui circulaient sur lui. Oh non, elle n’avait rien oublié. Le passé était trop lourd à porter pour que ça soit oublié.
Toujours est-il qu’elle préféra ne rien dire.
Il ne comprenait pas.
Il ne pouvait pas.
Il n’avait pas vu ce qu’elle avait vu, il avait grandi dans un seul modèle et, sur un certain point, il avait raison, elle ne pouvait pas le lui montrer, ni le lui expliquer. C’est pour ça qu’elle devait le faire, pour ça qu’elle devait construire une meute, une seule, où les mœurs et les coutumes seraient différents, mais où l’unité, la solidarité, le confort et l’amour seraient présents. Une meute ou les né-humains et les maudits seraient aidés, sans aucune difficulté. Sans méfiance. Sans jugement. Juste, du fait de leur nature. Particulière. Unique. Elle le sentait, au fond d’elle, qu’elle se devait de leur trouver un lieu, quelque chose, un endroit, où ils se sentiraient, enfin, eux-mêmes. Ca, c’était le premier pas, d’une longue liste. Elle savait bien qu’il y avait encore beaucoup à faire, beaucoup à construire et de nombreuses idées à déconstruire. Mais c’était ainsi. Elle s’était lancée là-dedans, maintenant, elle se devait d’assumer. Et grandement ! Ainsi donc, elle préféra le laisser avoir le dernier mot. Elle aurait tout le temps de lui expliquer à un autre moment. « Oui, je sais que c’est compliqué et difficile. » Elle soupira. « Je suis désolée de t’imposer tout ça, tu as assez souffert. » Et elle était bien placée pour le savoir. « Mais je tenais à être honnête avec toi. » Haussant les épaules, elle n’allait pas renier sa nature, ce n’était pas dans ses cordes. « Si jamais, je suis là maintenant, je répondrai à tes questions. » C’était son but, son rôle, désormais. « J’ai pris un appartement, je ne vis plus chez les blonds. » Pique au cœur à l’évocation de cette nouvelle, c’était pourtant la meilleure chose à faire. Les Svanhildesen étaient la meute blonde, la meute blonde n’était plus sa meute. Elle ne comptait pas y retourner, alors, elle préférait ne pas mettre les pieds sur le territoire norvégien de son ancienne meute. Pas pour le moment. Olena était au courant de son retour, elles avaient déjà échangé et, de ce que l’ex-alpha avait compris, sa sœur aînée gérait le tout d’une main de fer. Alors, autant ne pas la déranger, autant ne pas remuer le couteau dans une veille plaie. C’était plus simple.
Sourire doux sur le visage, elle décida finalement de s’énerver un peu, légèrement. « Arrête de t’excuser et d’arrondir les angles. » Elle roula des yeux. « T’as le droit d’avoir ton avis et de pas être d’accord avec toi, j’vais pas te bouffer tu sais. » après tout, elle ne l’avait jamais fait non, donc pourquoi se méfiait-il subitement ? Elle se dirigea vers lui et, sans lui laisser vraiment le choix, le prit dans ses bras. Un gros câlin. Juste le temps de lui faire du bien au cœur, de le rassurer. Oui, elle l’avait abandonné, mais non, elle ne recommencerait pas. Oui, elle était désolée, mais non elle n’était pas d’accord avec lui sur ce qu’il racontait. Oui, bien sûr, elle comprenait sa douleur, mais ce n’était pas la seule à exister, pas la seule à devoir être traitée. Il y avait trop de choses, trop de combats à mener, c’était désormais à chacun d’entre eux de choisir le sien. Et Edwina ne pouvait plus voir une partie de son peuple se faire massacrer par ce même peuple qui tentait, soit-disamment, de se montrer tolérant et ouvert d’esprit. C’était ainsi. Elle l’assumait. Même si ça signifiait, peut-être, perdre des amis proches. « Je peux venir avec toi sur la meute brune si tu veux. » Après tout, pourquoi le lui refuser ? « Ton chenil va bien ? » Elle se doutait bien que ses animaux étaient, sans doute, tous encore là. Elle l’espérait en tout cas. « Pour les enfants… » Elle soupira. Elle aurait dû s’en douter. « Je suis désolée. » Avant de poursuivre. « Dante, c’est ça ? »  Elle continua. « Je sais, je suis désolée, je n’aurais pas du. » Avant de le reprendre dans ses bras. Elle ne voulait pas lui causer de peine, pas plus qu’il n’en avait déjà. Ce n’était pas la peine et pas nécessaire. « Prends le temps qu’il te faudra, je serai là de toute façon. » Elle ne comptait pas repartir. Pas de si tôt en tout cas, jamais même, si elle le pouvait. « Et pour Skuli, pas de souci. » Elle soupira. « Je savais à quoi je m’engageais. » Elle verra avec le temps. Elle lui laissera du temps, à lui, mais aussi à tous les autres. Parce qu’elle ne pouvait pas faire autrement de toute façon. « Je peux partir si tu veux. » Elle haussa les épaules. « Je n’ai pas grand-chose à faire, mais si tu veux, je peux rester avec toi. » C’était toujours ça non ? Elle ne savait pas trop quoi lui proposer, ni trop quoi faire, ni quoi dire. Il avait besoin de temps pour tout digérer. C’était à lui de savoir ce qu’il voulait faire, s’il voulait qu’elle reste, ou pas.

esprit sauvage
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Dim 25 Nov - 9:35


Nicholas Tveit
Meute Brune

Nicholas Tveit


▹ MULTICOMPTES : Elias & Ivar & Sevastyan & Doffen ▹ PSEUDO : Ludies ▹ EMPREINTES : 2979 ▹ ARRIVÉE EN VILLE : 19/07/2015

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✤ MES COMPETENCES:
✤ MON INVENTAIRE: Une laisse.


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Il se contenta d’hausser les épaules à ses premières jusqu’à froncer les sourcils, lorsqu’elle parla de son appartement qui n’était  pas chez les blonds. Sérieusement ? Elle n’allait pas vivre un peu avec sa famille ? D’un côté, il pouvait la comprendre, ça ne devait pas être simple pour elle, peut-être qu’elle voulait les protéger, peut-être qu’il y avait encore autre chose, il n’en savait trop rien. Il soupira doucement, avant de se contenter d’acquiescer doucement, il aurait voulu lui donner un mot ou deux de soutien, mais il ne savait pas quoi dire, par ce qu’il comprenait, du moins, il en avait l’impression les deux parties. « Je t’aurais bien proposé de  venir chez moi mais… rien qu’avec les chiens, ce n’est pas une bonne idée. » Elle restait après tout une ex-alpha et il préférait faire attention à cela. Il baissa un peu les yeux, lorsqu’elle lui dit de ne plus s’excuser. Pourtant, il le faisait bien, c’était probablement une des choses qu’il maitrisait le mieux. Essayer d’arrondir les angles, c’était simple, il suffisait juste d’oublier son égo, de se soumettre un peu et il maitrisait parfaitement cela ! « Oui, je le sais bien mais quand même. » Quand même quoi ? Il n’en savait rien…. mais il l’avait quand même dit ! Cela sonnait bien, cela donnait presque un argument

Il eut un bref sourire joyeux lorsqu’elle accepta de venir sur le territoire de la meute brune, c’était mieux ainsi, il se sentait en quelque sorte plus en sécurité, bien qu’il ne puisse pas dire qu’il était réellement en danger sous les autres. « Ouais, tout se passe bien, même si plus ça va, plus les gens sont inconscients et veulent adopter sur un coup de tête, alors je préfère que les chiens restent avec moi plutôt qu’ils aillent n’importe où et qu’ils soient malheureux ou abandonnés. » Oui, il se permettait d’être franchement exigeant sur les gens qui voulaient adopter un de ses toutous, et comme il en avait très peu de jeunes, il fallait bien avouer que les animaux restaient très très longtemps chez lui… mais au final cela lui allait. Il ne tenait pas spécialement à s’en séparer !
Et elle prononça le Nom. Pendant quelques instants ses yeux se perdirent dans le vide avant qu’il arrive tout juste à reprendre le dessus, il haussa les épaules avant de souffler. « C’est…. Compliqué disons. » Et surtout très loin d’être derrière lui comme il aurait pu le penser. Au départ, il s’était juste senti revivre qu’il n’avait pas remarqué tous les à côté mais peu à peu  ce « manque » s’était de nouveau instaurer en lui, laissant juste un grand vide, mais surtout une grande frustration. Il savait très bien comment son futur ferait fait et avait toujours du mal à l’accepter. Elle le reprit dans les bras tandis qu’il lui soufflait «Tu ne pouvais pas deviner. » Bon, en même temps, même ceux qui étaient restés ne pouvaient pas vraiment le savoir, il essayait de le cacher au mieux pour ne blesser personne. Pour Skuli il ne sut pas quoi répliquer, il n’avait pas de conseils, il ne connaissait pas assez le blond, et vu sa relation désastreuse avec Leif, il serait en plus assez mal placé de dire quoi que ce soit !

Est-ce qu’il voulait qu’elle parte ? Qu’elle reste, il n’en savait sincèrement trop rien. Il n’avait pas envie de l’envoyer bouler aussi rapidement, mais d’un autre côté, il avait besoin d’être seul… mais être seul, il pourrait l’être après ! Mais qu’est-ce qu’ils pourraient ensemble ? Il n’était pas certain d’avoir grand-chose à lui dire d’autres « Tu veux que l’on aille chez moi et que l’on fasse un gâteau ? » Oui, c’était réellement la seule idée qu’il avait eu.
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Lun 25 Fév - 18:48


Edwina S. Svanhildesen
Solitaires Américains

Edwina S. Svanhildesen


▹ MULTICOMPTES : Vyranui Wahlberg, Torvald Marklund, Kayla Atkins. ▹ PSEUDO : ODAYA OCHAVEN. ▹ EMPREINTES : 3191 ▹ ARRIVÉE EN VILLE : 20/09/2014 ▹ AGE DU PERSO : 34 ▹ LOCALISATION : Perdue dans la neige norvégienne, quelque part dans la nature ou alors entre les feuilles d'un vieux livre poussièreux ou encore, entre deux étagères de la biliothèque, si ce n'est pas au fond de son lit. ▹ HUMEUR : Mordante mais pourtant la blonde sait restée polie avec ses interlocuteurs, enfin la plupart du temps, excepté une semaine par mois et bien sûr une semaine avant la pleine lune. Oh, également excepté les mercredis. Et les jours sans chocolat. Jamais en fait, ou rarement plutôt.

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✤ MES COMPETENCES:
✤ MON INVENTAIRE: un livre aux pages cornées, une petite dague et un stick à lèvres, le tout dans ma besace préférée


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Un sourire tendre sur le visage, elle était contente de retrouver la sympathie et la gentillesse de Nicholas. « Merci d’avoir proposé. » Même si ce n’était pas possible, au moins il avait fait preuve d’une certaine sympathie à son égard, malgré son absence. Ça ne la surprenait pas venant de lui, mais ça restait plaisant. Agréable. Réconfortant. Tout n’avait pas changé finalement.
L’absence et l’éloignement n’avaient pas été agréables, surtout pour lui. Oh, Edwina ne pouvait pas dire qu’elle n’avait pas souffert, mais elle avait pris la décision. Comme dans une rupture, c’était toujours plus simple pour celui qui partait, que pour celui qui restait. Il y avait eu des hauts, des bas, des moments de doute, mais surtout une grande satisfaction ; celle de pouvoir aller au bout de ses convictions, d’en avoir la force. Alors oui, il y avait des dommages collatéraux. Bien sûr. Mais n’était-ce pas le prix à payer ? Elle s’en voulait pour Nicholas, tout en ne culpabilisant pas pour autant. Situation étrange, un peu précaire, parfois incompréhensible, mais c’était ainsi qu’elle fonctionnait. Un mal pour un bien désormais.

La conversation tourna finalement autour des chiens de Nicholas. Apparemment le chenil allait bien, tout se passait au mieux. Il était, comme toujours, très regardant sur les adoptions, ce qui était bien normal et totalement compréhensible. Si c’était pour mettre en danger la vie d’un animal, ou le retrouver quelques mois plus tard abandonnés, quel intérêt ? Autant qu’il les garde avec lui, simplement.
Finalement, elle préféra ne pas trop s’attarder sur le souvenir de Dante, c’était suffisamment douloureux et compliqué pour lui, sans qu’elle ne veuille en rajouter. C’était une étape de son passé, de son vécu, il allait devoir vivre avec, plus facile à dire qu’à faire, c’était sûr. Certain même. « Tu en parles parfois ? » A quelqu’un, à n’importe qui… « Ca ne doit pas être facile, mais peut être que ça t’aiderait ? » Elle n’en savait rien, mais elle ne pouvait pas contempler sa douleur sans lui donner un moyen de s’en soulager. Même si c’était passager, même si ça ne lui permettrait pas de s’en sevrer définitivement. N’était-ce pas mieux de faire quelque chose que de ne rien faire ?

C’était une situation assez étrange. Se connaître depuis longtemps et pourtant agir comme deux étranges (ou presque). Edwina ne se sentait plus à sa place en Norvège au vu du système qui avait toujours été en place et, d’un autre côté, elle ne se sentait pas aussi bien dans un autre pays. L’Amérique le lui avait montré, tout était si différent là-bas, elle ne se sentait pas chez elle en permanence. Ici, peut-être qu’il y avait des choses à changer – sûrement même, mais la Norvège restait son pays. Sans doute que ce sentiment avait beaucoup joué sur son bien être. Certainement même à vrai dire. Suffisamment pour qu’elle se sente bien mieux ici qu’ailleurs. Malgré les défauts du pays et du gouvernement. Alors, quand il lui proposa d’aller cuisiner, comme ils avaient l’habitude de le faire, elle accepta, avec grand plaisir. C’était un petit pas vers le début d’une éventuelle réconciliation. Bien sûr, plus rien ne serait comme avant, mais c’était aussi le début de quelque chose d’autre. D’une nouvelle mentalité, d’une certaine évolution. Peut être qu’avec le temps Nicholas acceptera de rencontrer des loups américains et de voir leur philosophie, leur façon de penser et d’évoluer. Peut être, peut être pas. C’était quelque chose de différent. Quelque chose que lui seul pouvait décider de faire. Elle restait pourtant persuader qu’apprendre d’eux et de leur culture pouvait apporter un bien à la Norvège, comme les Américains avaient des enseignements à tirer des meutes norvégiennes.
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Mer 27 Fév - 9:03


Nicholas Tveit
Meute Brune

Nicholas Tveit


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A sa question sur Dante, il haussa simplement les épaules. Non, il n’en parlait pas, pas vraiment. A quoi bon ? Cela ne changerait rien, si ce n’est rouvrir une plaie déjà mal cicatrisée et en plus qui pouvait réellement comprendre ? Raphaël,  pas la peine de s’épancher là-dessus, idem pour Leif –à l’époque-, et les autres…. Les autres ce n’était pas non plus la peine d’y penser. Il se gratta un peu la joue en cherchant ce qu’il pouvait bien répliquer à cela. «Je… Et à qui Edwina ? Leif… ça lui ferait plus de mal que de bien, et il ne comprendrait pas. Raphaël… Raphaël a beaucoup de qualités, mais il dirait forcément une phrase blessante, ou perdrait patience rapidement, les sentiments et lui, ça a toujours fait deux ! Alors, non, non je n’en parle pas vraiment, et je ne crois pas que ça servirait à quelque chose, ce n’est pas comme si ça pouvait s’arranger, si avec le temps la douleur peut s’atténuer. Ce ne sont pas des…. Trucs humains. C’est beaucoup plus complexe. »

Quant au reste, à ce que l’on pouvait dire à présent. Il ne savait plus dans quelle direction, elle ne lui avait pas répondu à sa dernière question, mais en même temps … en même temps, elle n’avait pas dû l’entendre. Il hésitait entre lui répéter une nouvelle fois, ou alors se dire qu’il valait mieux qu’ils se quittent pour l’instant et se revoir dans quelques temps, le temps qu’ils digèrent  (enfin surtout lui), les informations. Il se racla la gorge, et finalement lui souffla doucement «Tu veux qu’on aille faire ou manger un gâteau… heu chez moi ? On sera surement tranquille, enfin comme tu veux … »  Il ne savait pas quoi dire d’autres. «Après on peut aussi se voir un autre jour, si tu préfères, comme ça… heu… je ne sais pas quoi argumenter, mais tu trouveras sûrement mieux que moi ! » Trouver quoi, argumenter quoi, à elle de faire comme elle veut, comme elle le sent. Par ce qu’il était probablement un peu plus perdu qu’autre chose au final, déjà que la repart était compliqué, maintenant que le sujet de Dante était tombé, même s’ils avaient essayé de passer à autre chose, son Ombre planait. Il la regarda, cette fois,  sans plus rien rajouter. C’était fou, avant, ils auraient pu parler pendant des heures de tout et de rien.



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