Cela fait quatre-vingt ans que la petite boutique d’herboristerie survit, en dépit de la modernisation de la ville. Elle traverse les décennies avec quelques ravalements de façade, un renouvellement des stocks et un changement de propriétaire. Désormais, c’est une jeune femme qui tient les rênes ; elle a beau avoir un sourire agréable, il ne faut pas se fier aux apparences. Pas plus qu’il ne faut supposer que cette boutique ne vend que des herbes et quelques bricoles ésotériques. Avec le bon mot de passe, Pixie Dust vous révélera tous ses secrets. Les chasseurs connaissent cet endroit pour y faire régulièrement des emplettes, et ils ne sont pas amateurs de ginseng ou de pattes de poulet. En contrat avec ceux qui traquent les loups depuis presque aussi longtemps que la boutique existe, les gérants dissimulent habilement leur stock d’armes derrière leurs pots de plantes séchés, ainsi que le fait qu’ils s’y connaissent en surnaturel. Car après tout, qui irait soupçonner un endroit pareil ?

Située au milieu du quartier neutre, cette petite librairie se cache discrètement dans une petite ruelle discrète et sombre. La façade noire mate détone légèrement avec le reste du quartier, mais une fois que vous aurez poussé la porte, alors s'ouvrira à vous le monde merveilleux de la littérature accompagné d'une agréable odeur de papier. Les nombreuses étagères croulent sous les livres de toutes sortes et pour tout public. Vous y trouverez à coup sûr ce que vous cherchez.

L'histoire du journal de Bergen est parsemé de rebondissements. Aux origines, celui-ci appartenait à une famille réputée de loups, réputée notamment pour son franc parler et ses tempéraments parfois belliqueux. Pourtant, aujourd'hui, c'est une humaine qui en détient les clés (Kateleyä L. Avellaneda), bien qu'elle espère du fond du cœur qu'elle pourra très bientôt les confier à un(e) autre. Le décès du précédent rédacteur en chef ayant provoqué le départ de toute sa famille, et la situation dangereuse de Bergen ne facilitant pas les choses, qui sait quel avenir aura le journal ?

Il s'agit du commissariat central de Bergen : les locaux sont un peu vieillots mais suffisamment grands pour accueillir toute la paperasse et les principaux dossiers 'brûlants' de la ville. Il est dirigé d'une main de fer par Yrjan Hansen.

Péninsule touristique, on y trouve beaucoup de commerces en tout genre, d'hôtels et d'auberges pour ces derniers. Il existe aussi toutes sortes d'immeubles et de pavillons pour les autochtones. Ce quartier est nettement moins dynamique hors-saison.

Ancré ici depuis toujours, hôpital a connu de nombreux changements au fil des années. De l'agrandissement, à la modernisation, c'est un bon établissement de soins assez réputé et souvent envié par les villes voisines. Le personnel y est, pour la plupart du temps, très agréable, et leurs compétences ne sont plus à prouver.